Suite à l'élimination de Nasrallah, l'Iran a promis des représailles, mais selon des rapports, le leader suprême lui-même, Ali Khamenei, qui a émis plusieurs déclarations menaçantes au cours de la journée, a été transféré dans un "endroit sûr" par crainte pour sa vie. L'axe chiite, en dehors du Hezbollah, n'a pas encore réagi, à l'exception des Houthis, qui ont lancé un missile sol-sol intercepté dans l'espace aérien israélien après avoir déclenché une vague d'alarmes à travers le centre du pays.
La quasi-totalité des pays du monde n'a pas condamné cette élimination précise, à l'exception des filiales de l'axe iranien au Moyen-Orient et de la Russie. Plusieurs responsables, tels que Josep Borrell, le ministre des Affaires étrangères de l'Union européenne, ont exprimé leur inquiétude et leur crainte d'une escalade.